Mon amour des tasses de thé, l’objet ici et pas son contenu, est un sujet éternel de comique de répétition dans mon foyer. Il est suggéré, pas forcément à tort, que si on me laissait faire, j’achèterais plus de tasses que la demi-étagère dédiée ne peut en accueillir. Pourtant, en remontant l’histoire, l’avant-dernière tasse que j’ai achetée moi-même doit dater de 2015, lorsque j’avais acheté deux tasses « Mason Jar » dont l’une survit encore à ce jour. Quelques cadeaux et goodies ont néanmoins agrandi la collection depuis. Collection dont j’étais assez satisfaite jusqu’au début de l’été dernier, quand j’ai acheté la petite merveille en photo ci-dessus.

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Il y a quelques années, j’ai acheté un sachet de thé vrac « Pistache pâte d’amandes » auprès de Fée du thé, une maison de thé toulousaine dont j’apprécie le travail. Sauf que le thé était très dosé en arômes, au point qu’en boire plus de trois gorgées était écœurant. Je pense sincèrement que c’était une erreur de dosage et pas une erreur de conception du thé mais toujours est-il que je me suis retrouvée avec un thé imbuvable tel quel et que je n’avais pas envie de jeter, ce qui m’a conduit à considérer l’option de mélanger ce thé avec un autre. Et comme ça a plutôt bien marché, j’ai réitéré l’expérience. Poursuivre la lecture de « Mélanger ses thés »

De façon assez paradoxale, j’ai croisé pour la première fois la marque English Tea Shop dans la capitale ukrainienne Kiev. J’étais seule et j’avais besoin d’un thé pour le matin. En me rendant dans un supermarché qui semblait s’adresser principalement aux expatriés, j’y ai trouvé un English Breakfast de leur cru. Et ce fut la première d’une série d’agréables découvertes. Poursuivre la lecture de « English Tea Shop, sous le signe de la théière »

 

Le problème d’être une maison de thé connue et reconnue, c’est que la réputation qui en découle crée une attente et des espoirs chez celui ou celle qui s’aventure. Ainsi, j’avais quelques exigences quant à cette maison de thé qui m’était vendue comme l’égale de Mariage Frères et qui est la seule maison ayant une usine en France faisant plus que du conditionnement. 5 thés plus tard, je suis plutôt circonspecte. Poursuivre la lecture de « Dammann, avec un D pour déception »

En matière de thé, j’ai un peu de mal à sortir de ma zone de confort pour essayer de nouvelles choses. C’est pourquoi j’ai décidé de commander des Thé Box tous les 3/4 mois, histoire de découvrir des marques que je ne connais pas et qui ne sont pas toujours vendues dans ma campagne. Et dans la première que j’ai reçue, il y avait deux thés noirs de la maison de thé Nina’s. Et ce furent deux très belles découvertes.

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Quitte à vous parler de thé, autant commencer par les fondamentaux et mes premières amours en la matière. Et il se trouve que lorsque j’ai commencé à en boire, nous n’avions à la maison que du thé Mariage Frères. Exigence maternelle. Ce thé, c’était un de nos seuls luxes. Et il faut admettre que je n’aimerais sans doute pas autant le thé si j’avais commencé avec du Tetley. Poursuivre la lecture de « Mariage Frères, mon amour »